L'Opus 102 et son acoustique
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jimbee
jean-jacques Bacquet
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L'Opus 102 et son acoustique
Savez vous qu'un artisan Français a inventé un piano à 102 notes au lieu de 88 ?
Mais quel est le rapport entre ce piano Stephen Paulello - Opus 102 et Klinger Favre Audio ?
On en profite pour parler de quelques notions d'acoustique de base.
L'Opus 102 est un piano de concert destiné à jouer avec de grands orchestres. Or pour un chef d’œuvre si ambitieux, il fallait une salle de démonstration digne de ce nom.
Stephen et Claire Paulello, créateurs de l'Opus 102 ont conçu le local, dessiné la charpente, et ils ont réalisé un traitement acoustique calculé et dessiné par Klinger Favre.
Ce piano déploie une richesse harmonique encore plus grande que celle des pianos classiques (chut chut, pas de marques...) grâce à un système de cordes très particulier et surtout grâce à ses 2 octaves supplémentairement, une dans l'aigu, une dans le grave. Nous devions donc créer un écrin qui permette de « gérer » la puissance de l'instrument, tout en donnant à entendre toutes ses subtilités.
Premier défi : savoir doser le temps de réverbération
Une réverbération naturelle dans un grand local est très agréable car elle aide la musique à voyager avec ampleur et parfois romantisme, mais elle doit rester suffisamment courte et maitrisée pour préserver l'intelligibilité et la lisibilité de trait rapides.
Comment choisir le temps de réverbération idéal ? Il existe une bonne référence: Un physicien du nom de Wallace Clement Sabine a établi au début du XXème siècle un relevé de TR idéal selon le volume et la fonction d'une salle (conférence, théâtre, musique de chambre, musique orchestrale...) et c'est encore aujourd'hui une base très fiable à laquelle se réfèrent les acousticiens.
A prendre en compte : L'acoustique d'une salle remplie de 100 spectateurs deviendra beaucoup plus sèche que lorsqu'elle est vide. C'est un peu comme si chaque personne, avec ses vêtements, constituait un petit panneau absorbant. Nous prenons donc le parti d'établir un temps de réverbération un peu trop long à vide, pour qu'il devienne optimal en situation de concert. Quand cela est possible, nous préconisons des panneaux réversibles réfléchissants d'un côté, absorbants de l'autre.
Second défi : une réverbération bien équilibrée
Pour traiter un local, on a souvent le réflexe d'installer des matières qui absorbent les aigus et les haut-médiums (dans un salon on installe rideaux, tapis, quelques panneaux de laine minérales ou végétales) Mais dans un volume comme le Studio Stephen Paulello, il faut installer aussi des dispositifs qui amortissent les bas-médiums et les graves pour éviter le fameux effet « boomy » des grandes salles... Ces différents « piège à basses » et « résonateurs » sont dissimulés un peu partout dans le décor.
Troisième défi : supprimer le flutter echo
C'est le phénomène ce qui se produit lorsqu'un son est émis entre deux murs lisses et parallèles, on entend alors une répétition de ce son entre les deux surfaces comme un echo entre deux montagnes, mais à intervalles très rapprochés. Plus les murs sont proches, plus cet echo sera rapide. Dans les petites pièces on n'arrive même plus à percevoir l'effet « ping pong » des murs, mais on obtient un durcissement du son, une sorte de retour médium aigu métallique. Si on incline au moins l'une des deux surfaces ou qu'on l'équipe de panneaux acoustiques, cet effet nuisible disparaît.
Quatrième défi : le volume sonore.
Ce bel instrument est habitué à des espaces encore plus grands que celui-ci et sa puissance sonore pourrait bien submerger le public.
C'est pour éviter cela que nous utilisons les fameux diffuseurs de Schroeder car ils parviennent à briser le flutter echo sans abaisser le temps de réverbération. Au lieu de revenir en onde frontale, l'énergie arrière de l'instrument est renvoyée de façon diffuse au pianiste et à l'auditoire. C'est une sorte de réglage du niveau sonore à taille humaine.
Par un savant calcul, on peut même provoquer la diminution de certaines longueurs d'onde.
Vous aurez remarqué que les diffuseurs derrière le piano sont de tailles et de profondeurs différentes, car ils ont été calculés pour atténuer de façon homogène tout le spectre émis par le piano (et un peu davantage, en prévision de concerts avec percussions.)
Le look :
Une fois que le calcul et que le diagnostic acoustique sont établis, arrive la question visuelle.
Dans un tel volume, il faut penser le design pour ne pas ruiner l'architecture globale du lieu, ni le transformer en mur d'expo de panneaux acoustiques...
Avec Claire et Stephen, nous avons imaginé des diagonale qui traversent tout l'espace de pour jouer avec la ligne oblique du plafond. La couleur rouge a été choisie pour sa chaleur et sa connotation théâtrale.
Le travail de l'éclairage a été crucial pour focaliser l'attention sur le piano tout en soulignant les lignes de forces et quelques constructions acoustiques élégantes.
Depuis son inauguration, le Studio Stephen Paulello accueille régulièrement des concerts de grande qualité.
On vous conseille vivement de vous inscrire à leur mailing liste stephenpaulello(at)gmail-point-com pour profiter de ces précieux moments dans un cadre spacieux et intime.
Mais quel est le rapport entre ce piano Stephen Paulello - Opus 102 et Klinger Favre Audio ?
On en profite pour parler de quelques notions d'acoustique de base.
L'Opus 102 est un piano de concert destiné à jouer avec de grands orchestres. Or pour un chef d’œuvre si ambitieux, il fallait une salle de démonstration digne de ce nom.
Stephen et Claire Paulello, créateurs de l'Opus 102 ont conçu le local, dessiné la charpente, et ils ont réalisé un traitement acoustique calculé et dessiné par Klinger Favre.
Ce piano déploie une richesse harmonique encore plus grande que celle des pianos classiques (chut chut, pas de marques...) grâce à un système de cordes très particulier et surtout grâce à ses 2 octaves supplémentairement, une dans l'aigu, une dans le grave. Nous devions donc créer un écrin qui permette de « gérer » la puissance de l'instrument, tout en donnant à entendre toutes ses subtilités.
Premier défi : savoir doser le temps de réverbération
Une réverbération naturelle dans un grand local est très agréable car elle aide la musique à voyager avec ampleur et parfois romantisme, mais elle doit rester suffisamment courte et maitrisée pour préserver l'intelligibilité et la lisibilité de trait rapides.
Comment choisir le temps de réverbération idéal ? Il existe une bonne référence: Un physicien du nom de Wallace Clement Sabine a établi au début du XXème siècle un relevé de TR idéal selon le volume et la fonction d'une salle (conférence, théâtre, musique de chambre, musique orchestrale...) et c'est encore aujourd'hui une base très fiable à laquelle se réfèrent les acousticiens.
A prendre en compte : L'acoustique d'une salle remplie de 100 spectateurs deviendra beaucoup plus sèche que lorsqu'elle est vide. C'est un peu comme si chaque personne, avec ses vêtements, constituait un petit panneau absorbant. Nous prenons donc le parti d'établir un temps de réverbération un peu trop long à vide, pour qu'il devienne optimal en situation de concert. Quand cela est possible, nous préconisons des panneaux réversibles réfléchissants d'un côté, absorbants de l'autre.
Second défi : une réverbération bien équilibrée
Pour traiter un local, on a souvent le réflexe d'installer des matières qui absorbent les aigus et les haut-médiums (dans un salon on installe rideaux, tapis, quelques panneaux de laine minérales ou végétales) Mais dans un volume comme le Studio Stephen Paulello, il faut installer aussi des dispositifs qui amortissent les bas-médiums et les graves pour éviter le fameux effet « boomy » des grandes salles... Ces différents « piège à basses » et « résonateurs » sont dissimulés un peu partout dans le décor.
Troisième défi : supprimer le flutter echo
C'est le phénomène ce qui se produit lorsqu'un son est émis entre deux murs lisses et parallèles, on entend alors une répétition de ce son entre les deux surfaces comme un echo entre deux montagnes, mais à intervalles très rapprochés. Plus les murs sont proches, plus cet echo sera rapide. Dans les petites pièces on n'arrive même plus à percevoir l'effet « ping pong » des murs, mais on obtient un durcissement du son, une sorte de retour médium aigu métallique. Si on incline au moins l'une des deux surfaces ou qu'on l'équipe de panneaux acoustiques, cet effet nuisible disparaît.
Quatrième défi : le volume sonore.
Ce bel instrument est habitué à des espaces encore plus grands que celui-ci et sa puissance sonore pourrait bien submerger le public.
C'est pour éviter cela que nous utilisons les fameux diffuseurs de Schroeder car ils parviennent à briser le flutter echo sans abaisser le temps de réverbération. Au lieu de revenir en onde frontale, l'énergie arrière de l'instrument est renvoyée de façon diffuse au pianiste et à l'auditoire. C'est une sorte de réglage du niveau sonore à taille humaine.
Par un savant calcul, on peut même provoquer la diminution de certaines longueurs d'onde.
Vous aurez remarqué que les diffuseurs derrière le piano sont de tailles et de profondeurs différentes, car ils ont été calculés pour atténuer de façon homogène tout le spectre émis par le piano (et un peu davantage, en prévision de concerts avec percussions.)
Le look :
Une fois que le calcul et que le diagnostic acoustique sont établis, arrive la question visuelle.
Dans un tel volume, il faut penser le design pour ne pas ruiner l'architecture globale du lieu, ni le transformer en mur d'expo de panneaux acoustiques...
Avec Claire et Stephen, nous avons imaginé des diagonale qui traversent tout l'espace de pour jouer avec la ligne oblique du plafond. La couleur rouge a été choisie pour sa chaleur et sa connotation théâtrale.
Le travail de l'éclairage a été crucial pour focaliser l'attention sur le piano tout en soulignant les lignes de forces et quelques constructions acoustiques élégantes.
Depuis son inauguration, le Studio Stephen Paulello accueille régulièrement des concerts de grande qualité.
On vous conseille vivement de vous inscrire à leur mailing liste stephenpaulello(at)gmail-point-com pour profiter de ces précieux moments dans un cadre spacieux et intime.
Dernière édition par jean-jacques Bacquet le Mer 2 Déc 2020 - 16:28, édité 1 fois
Re: L'Opus 102 et son acoustique
jean-jacques Bacquet a écrit:
Ce piano déploie une richesse harmonique encore plus grande que celle des pianos classiques (chut chut, pas de marques...) grâce à un système de cordes très particulier et surtout grâce à ses 2 octaves supplémentairement, une dans l'aigu, une dans le grave.
Par rapport au piano d'étude a sept octaves pleines, 85 notes, un clavier de 102 notes donne huit octaves et une quarte.
En bas, il descend au DO tout comme le Bosendorfer Impérial.
jimbee- Membre éminent
- Messages : 2575
Date d'inscription : 05/03/2019
Re: L'Opus 102 et son acoustique
jimbee a écrit:jean-jacques Bacquet a écrit:
Ce piano déploie une richesse harmonique encore plus grande que celle des pianos classiques (chut chut, pas de marques...) grâce à un système de cordes très particulier et surtout grâce à ses 2 octaves supplémentairement, une dans l'aigu, une dans le grave.
Par rapport au piano d'étude a sept octaves pleines, 85 notes, un clavier de 102 notes donne huit octaves et une quarte.
A notre connaissance, les pianos classiques comptent plutôt 88 touches que 85. Nous avons écrit "2 octaves" pour simplifier le propos, par égard pour les plus débutants de nos lecteurs. Mais il est vrai, on devrait écrire "14 touches" supplémentaires, au lieu de "2 octaves", réparties de façon égales aux extrémité du clavier. Ceux qui souhaiteraient creuser le sujet sont invités à aller voir et écouter ce piano en vrai, à Sens.
A part cela, est-ce que cet article vous a plu?
Nous avons pris un grand soin et pas mal de temps à l'écrire.
Dernière édition par jean-jacques Bacquet le Jeu 12 Déc 2019 - 11:36, édité 1 fois
Re: L'Opus 102 et son acoustique
Je ne connaissai point ce genre de piano, juste les "normaux". . .
De très belles photo, Merci pour votre travail, chapeau !
De très belles photo, Merci pour votre travail, chapeau !
_________________
André
dedefr- Membre Bleu
- Messages : 224
Date d'inscription : 28/06/2019
Localisation : Alsace Bas Rhin
Re: L'Opus 102 et son acoustique
jean-jacques Bacquet a écrit:
A notre connaissance, les pianos classiques comptent plutôt 88 touches que 85. Nous avons écrit "2 octaves" pour simplifier le propos, .
Oui, c'est pourquoi j'ai spécifié piano d'étude, par rapport au piano classique à 88 touches, les 102 élargissent d'une octave et un ton,
une sixte en bas et une quarte en haut.
Très belle salle, ceci dit.
Quel en est le temps de réverb / fréquence "cible" ?
jimbee- Membre éminent
- Messages : 2575
Date d'inscription : 05/03/2019
Re: L'Opus 102 et son acoustique
jimbee a écrit:
Quel en est le temps de réverb / fréquence "cible" ?
Nous avons établi un TR de 1,8 sec. à vide et 1,3 sec. remplie de spectateurs.
Re: L'Opus 102 et son acoustique
Hello Jean Jacques et Jimbee..
Quelques remarques:
-Le BOSENDORFER Imperial Grand Piano a 97 touches
-Le traitement d'une salle de concert ou d'écoute live ne ressemble pas au traitement d'un local d'écoute 'HiFi', du fait que les objectifs que l'on se fixe ne sont pas les mêmes. Pour un local HiFi, on cherche non pas a magnifier la sonorité d'un instrument grace à des réflections contrôlées, mais a faire disparaitre au maximum l'effet du local pour se rapprocher dans la mesure du possible d'une écoute avec de faibles réflections primaires.
-Je remarque les plats verticaux qui ont pour but de piéger les réflections latérales sur la paroi du fonds, et aussi les pièges astucieux sur le latéral gauche, qui permettent de piéger certaines réflections touten conservant une faible absorption des médiums et aigus.
Le plafond en V est très favorable.
-Magnifique réalisation..!! Cordialement Jean Claude
Quelques remarques:
-Le BOSENDORFER Imperial Grand Piano a 97 touches
-Le traitement d'une salle de concert ou d'écoute live ne ressemble pas au traitement d'un local d'écoute 'HiFi', du fait que les objectifs que l'on se fixe ne sont pas les mêmes. Pour un local HiFi, on cherche non pas a magnifier la sonorité d'un instrument grace à des réflections contrôlées, mais a faire disparaitre au maximum l'effet du local pour se rapprocher dans la mesure du possible d'une écoute avec de faibles réflections primaires.
-Je remarque les plats verticaux qui ont pour but de piéger les réflections latérales sur la paroi du fonds, et aussi les pièges astucieux sur le latéral gauche, qui permettent de piéger certaines réflections touten conservant une faible absorption des médiums et aigus.
Le plafond en V est très favorable.
-Magnifique réalisation..!! Cordialement Jean Claude
_________________
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maxitonus- Membre Bleu
- Messages : 1643
Date d'inscription : 04/03/2019
Localisation : Cassis (13260)
Re: L'Opus 102 et son acoustique
Bonjour à tous,
Tout d'abord félicitations pour ce calendrier de l'avent qui est original et humoristique cela fait du bien dans notre passion.
Je trouve cet article vraiment intéressant car ayant un "faible" pour le piano notamment pour le Bösendorfer qui me donne le frisson à chaque écoute !
Il s'agit d'un piano unique, dans lequel je souhaiterai vraiment me poser devant, pour en connaitre tout son potentiel.
Là il ne fait aucun doute que les compétences de Klinger Favre trouve ici tout leur sens.
Je me permet une petite question quel(s) analyseur(s) utilisez-vous pour vos mesures ?
Il ne manque plus que la réalisation de disques CD KF, un jour peut-être, la boucle sera bouclée ?
Excellente journée
Tout d'abord félicitations pour ce calendrier de l'avent qui est original et humoristique cela fait du bien dans notre passion.
Je trouve cet article vraiment intéressant car ayant un "faible" pour le piano notamment pour le Bösendorfer qui me donne le frisson à chaque écoute !
Il s'agit d'un piano unique, dans lequel je souhaiterai vraiment me poser devant, pour en connaitre tout son potentiel.
Là il ne fait aucun doute que les compétences de Klinger Favre trouve ici tout leur sens.
Je me permet une petite question quel(s) analyseur(s) utilisez-vous pour vos mesures ?
Il ne manque plus que la réalisation de disques CD KF, un jour peut-être, la boucle sera bouclée ?
Excellente journée
M.Big-net- Membre Bleu
- Messages : 84
Date d'inscription : 01/03/2019
Age : 60
Re: L'Opus 102 et son acoustique
Bye bye
PFB
PFB
Dernière édition par PFB le Dim 10 Déc 2023 - 2:09, édité 1 fois
_________________
Le matériel n'a aucune importance et il faut toujours écouter les audiophiles.
PFB- Membre Bleu
- Messages : 1688
Date d'inscription : 02/03/2019
Localisation : Nord du pays
Re: L'Opus 102 et son acoustique
jimbee a écrit: une sixte en bas et une quarte en haut.
Puisque la question des notes vous intéresse, voici la réponse de Paulello
Un clavier de 102 notes: huit octaves et une quarte, de do à fa :
L’évolution de l’étendue du clavier résulte des progrès de la métallurgie de la corde. Selon les caractéristiques mécaniques de celle-ci, le clavier est passé peu à peu de quatre octaves (chez Cristofori en 1700) à huit octaves (chez Henri Pape en 1842) pour revenir à un standard de sept octaves ¼ (88 notes) aux alentours de 1880. On peut constater que l’évolution du clavier s'interrompt au même moment que l’évolution du piano.
Les spécificités des cordes Stephen Paulello permettent de redonner une impulsion à l’expérimentation instrumentale et d'atteindre les confins de l'étendue envisageable. Les pianos Stuart en Australie et les pianos Stephen Paulello en France définissent un nouveau standard de l’ambitus du clavier. L’enrichissement sonore qui en résulte, dû aux nombreuses cordes supplémentaires vibrant par sympathie, la nouvelle dimension donnée à l’instrument ainsi que les possibilités offertes aux compositeurs expérimentateurs, valent l’effort d’un bref temps d’adaptation pianistique.
Je vous invite à faire un tour sur le site qui est passionnant:
stephenpaulello.com
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