S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
"...La dorure c’est pour améliorer le transport de photons ?..."
Non, c'est pour faire plaisir à mon AXOLOTL: ça lui rappelle son pays d'origine
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Neness- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
la ferrite? Si elle a encore un effet ça veut dire que le câble est bien mal blindé
lamouette- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Non c'est juste pour faire 'genre': c'est pas le prix que ça coûte
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Jesse- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
pour faire genre tu peux aussi mettre du barbelé , des épingles nourrice, dans le genre punk
lamouette- Membre Bleu
- Messages : 9855
Date d'inscription : 08/12/2020
Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
J'avais déjà essayé mais ça créait trop de 'duretés'
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Jesse- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
lechat a écrit:Pour le S/PDIF, préférez l'optique...
"Il s’agit d’un atout de taille car la lumière est insensible aux perturbations électro-magnétiques. Le flux lumineux du câble optique numérique n’est pas altéré par d’éventuelles interférences générées par des câbles d’alimentation, de modulation, ni même par la masse. Puisque le transfert s’effectue par un unique flux lumineux, l’isolation est optimale entre deux appareils reliés."
Je rejoins la personne qui a écrit ce beau texte.
Merci à elle.
Le Toslink a très mal viellit, l'interface et le transport ne sont pas à jour avec les stanbdard d'aujourd'hui.
Ça fonctionne mais ce n'est pas optimal.
Une meilleure fibre, meilleur connectique et meilleur interface serait les bienvenues.
mftech- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Quelqu’un m’avait un jour conseillé la fibre optique pro type LC (Lucent) multimode type OM3 avec soit des modules convertisseurs soit des dongles type SFP suivant que l’on a ou pas un switch réseau adapté.Le Toslink a très mal viellit, l'interface et le transport ne sont pas à jour avec les stanbdard d'aujourd'hui.
Ça fonctionne mais ce n'est pas optimal.
Une meilleure fibre, meilleur connectique et meilleur interface serait les bienvenues.
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Jean-Noël
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Lions of the lambs come filing in / Pacin' through the still around the bed
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And that heartbreak feeling? ….Laura Viers
Part of amp design is deciding what "tone" you want. Because it’s going to have a sound, no matter what technology is there ... Class D, MOSFETs, bipolar transistors, pentode, triode, or DHT. No matter what you design, it will have a sound, no matter what you do, or how clever you are. The perfect component does not exist. The designer needs to steer that little touch of coloration in a good direction.
Lynn Olson
Selkie_boy- Membre Bleu
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Localisation : Bonnie Scotland
Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
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Jesse- Membre Bleu
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Bonjour
Je reviens sur le mode de fonctionnement de la liaison S/PDIF.
La liaison transmet des paquets (block-data) de 192 mots (frames) de 64 bits répartis en 2 sous-mots de 32 bits
4 bits de préambule
4 bits de donnés auxiliaires
20 bits audio (G et D) : erreur : 20 bits audio G dans 1er sous-mot, 20 bits audio D dans 2ième sous-mot
4 bits d’état (dont parité)
Les bits à transmettre sont codés en modulation bi-phase (ou Manchester), permettant une extraction aisée de l’horloge (des mots transmis, pas celle de l’audio), isochrone de celle de l’émetteur, et une grande robustesse aux parasites.
A la réception, un premier circuit démodule le codage bi-phase pour extraire les mots transmis et leur horloge. Cette démodulation se fait sur le sens de la transition entre 2 bits, pas sur des variations de niveau !
Un deuxième circuit extrait les données audio, qui sont ensuite traitées par le CNA, avec sa propre horloge à 44,1 kHz. C’est le jitter de cette horloge qui a une influence sur la conversion NA.
Influence d’un parasitage ? Si c’est le cas, il doit être important pour modifier les transitions, puisque ce sont elles qui sont décodées. Dans ce cas, les mots de 64 bits comportent des erreurs qui n’affectent pas à priori uniquement les bits audio (40 sur 64). Que fait le circuit d’extraction audio ? Arrive-t-il à extraire de l’audio ? Si oui, quelque type de distorsion y trouve-t-on ? Des ruptures d’amplitude ou des effets sur l’espace sonore reproduit ?
Selon certains, le rendu est modifié de manière reproductible par certains câbles : cela veut dire que pour chacun de ces câbles, la perturbations des bits audio est toujours la même, donc que les perturbations sur la liaison affectent toujours les mêmes bits transmis pour un câble donné.
Il y aurait donc un certain synchronisme des perturbations et des mots transmis, parfaitement reproductible ?
Que ces perturbations n'affectent que les bits audio et de plus produisent un effet de filtrage numérique (effet sur les graves, sur la dynamique, sur l'extinction des notes ,...)
Je veux bien admettre que la liaison puisse être perturbée par des parasites ou désadaptation d'impédance, mais :
- il faudrait que ces perturbations soient d'un niveau extrêment important ajoutant de fausses transitions ou en annulant certaines ( décodage sur les transitions et pas sur les niveaux); si c'est le cas il faut s'interroger sur la présence de ces parasites
- que seuls les bits audio soient affectés, et toujours les mêmes pour un câble donné
- que ces modifications de bits correspondent à celles qu'appliquerait un filtrage numérique modifiant le rendu sans distorsion d'amplitude audible
Jean
Je reviens sur le mode de fonctionnement de la liaison S/PDIF.
La liaison transmet des paquets (block-data) de 192 mots (frames) de 64 bits répartis en 2 sous-mots de 32 bits
4 bits de préambule
4 bits de donnés auxiliaires
20 bits audio (G et D) : erreur : 20 bits audio G dans 1er sous-mot, 20 bits audio D dans 2ième sous-mot
4 bits d’état (dont parité)
Les bits à transmettre sont codés en modulation bi-phase (ou Manchester), permettant une extraction aisée de l’horloge (des mots transmis, pas celle de l’audio), isochrone de celle de l’émetteur, et une grande robustesse aux parasites.
A la réception, un premier circuit démodule le codage bi-phase pour extraire les mots transmis et leur horloge. Cette démodulation se fait sur le sens de la transition entre 2 bits, pas sur des variations de niveau !
Un deuxième circuit extrait les données audio, qui sont ensuite traitées par le CNA, avec sa propre horloge à 44,1 kHz. C’est le jitter de cette horloge qui a une influence sur la conversion NA.
Influence d’un parasitage ? Si c’est le cas, il doit être important pour modifier les transitions, puisque ce sont elles qui sont décodées. Dans ce cas, les mots de 64 bits comportent des erreurs qui n’affectent pas à priori uniquement les bits audio (40 sur 64). Que fait le circuit d’extraction audio ? Arrive-t-il à extraire de l’audio ? Si oui, quelque type de distorsion y trouve-t-on ? Des ruptures d’amplitude ou des effets sur l’espace sonore reproduit ?
Selon certains, le rendu est modifié de manière reproductible par certains câbles : cela veut dire que pour chacun de ces câbles, la perturbations des bits audio est toujours la même, donc que les perturbations sur la liaison affectent toujours les mêmes bits transmis pour un câble donné.
Il y aurait donc un certain synchronisme des perturbations et des mots transmis, parfaitement reproductible ?
Que ces perturbations n'affectent que les bits audio et de plus produisent un effet de filtrage numérique (effet sur les graves, sur la dynamique, sur l'extinction des notes ,...)
Je veux bien admettre que la liaison puisse être perturbée par des parasites ou désadaptation d'impédance, mais :
- il faudrait que ces perturbations soient d'un niveau extrêment important ajoutant de fausses transitions ou en annulant certaines ( décodage sur les transitions et pas sur les niveaux); si c'est le cas il faut s'interroger sur la présence de ces parasites
- que seuls les bits audio soient affectés, et toujours les mêmes pour un câble donné
- que ces modifications de bits correspondent à celles qu'appliquerait un filtrage numérique modifiant le rendu sans distorsion d'amplitude audible
Jean
Dernière édition par jaja75 le Mer 5 Oct 2022 - 6:57, édité 2 fois
jaja75- Membre Bleu
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Date d'inscription : 01/03/2019
Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Bonjour à tous, bonjour Jean,
Salutations. Tony
Je te remercie pour ce rappel, de ces explications claires et de ton avis sur la question.jaja75 a écrit:Je reviens sur le mode de fonctionnement de la liaison S/PDIF.
La liaison transmet des paquets (block-data) de 192 mots (frames) de 64 bits répartis en 2 sous-mots de 32 bits
4 bits de préambule
4 bits de donnés auxiliaires
20 bits audio (G et D)
4 bits d’état (dont parité)
Les bits à transmettre sont codés en modulation bi-phase (ou Manchester), permettant une extraction aisée de l’horloge (des mots transmis, pas celle de l’audio), isochrone de celle de l’émetteur, et une grande robustesse aux parasites.
A la réception, un premier circuit démodule le codage bi-phase pour extraire les mots transmis et leur horloge. Cette démodulation se fait sur le sens de la transition entre 2 bits, pas sur des variations de niveau !
Un deuxième circuit extrait les données audio, qui sont ensuite traitées par le CNA, avec sa propre horloge à 44,1 kHz. C’est le jitter de cette horloge qui a une influence sur la conversion NA.
Influence d’un parasitage ? Si c’est le cas, il doit être important pour modifier les transitions, puisque ce sont elles qui sont décodées. Dans ce cas, les mots de 64 bits comportent des erreurs qui n’affectent pas à priori uniquement les bits audio (40 sur 64). Que fait le circuit d’extraction audio ? Arrive-t-il à extraire de l’audio ? Si oui, quelque type de distorsion y trouve-t-on ? Des ruptures d’amplitude ou des effets sur l’espace sonore reproduit ?
Selon certains, le rendu est modifié de manière reproductible par certains câbles : cela veut dire que pour chacun de ces câbles, la perturbations des bits audio est toujours la même, donc que les perturbations sur la liaison affectent toujours les mêmes bits transmis pour un câble donné.
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Je veux bien admettre que la liaison puisse être perturbée par des parasites ou désadaptation d'impédance, mais :
- il faudrait que ces perturbations soient d'un niveau extrêment important ajoutant de fausses transitions ou en annulant certaines ( décodage sur les transitions et pas sur les niveaux); si ces le cas il faut s'interroger sur la présence de ces parasites
- que seuls les bits audio soient affectés, et toujours les mêmes pour un câble donné
- que ces modifications de bits correspondent à celles qu'appliquerait un filtrage numérique modifiant le rendu sans distorsion d'amplitude audible
Salutations. Tony
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Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Merci Tony
J'ai cependant fait une petite faute dans le contenu de chaque sous-mot que je viens de corriger.
Jean
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Jean
jaja75- Membre Bleu
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Date d'inscription : 01/03/2019
Re: S/PDIF mise en œuvre parfaite ou pas ? (Partie 2)
Merci Jean...
C'est pourtant clair...
Très bonne journée à tous
C'est pourtant clair...
Très bonne journée à tous
banzai- Membre Bleu
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